Arts d’Asie – Achat et Vente
Les arts d’Asie étant ma spécialité, je suis constamment à la recherche de pièces de qualité anciennes.
Je recherche :
Sculptures, statues et statuettes en bronze doré, bronze laqué, bois, marbre, pierre, granite, schiste, terre cuite, ivoire et de matériaux divers. Statue chinoise et japonaise, statuette tibétaine, sculpture indienne.
Porcelaines impériales chinoises des dynasties Yuan, Ming et Qing, vase chinois ancien, porcelaine de Chine, bleu et blanc, céladon, porcelaine à glaçure monochrome: (sang de bœuf, jaune impérial), porcelaine polychrome, famille verte et famille rose, compagnie des Indes, porcelaine de Canton, grès ; porcelaines et grès japonais et coréens.
Jades, pierres dures, corail. Statuettes, sculptures et objets sculptés, en jade néphrite ou jadéïte, en corail et en pierres dures telles que cristal de roche, jaspe, agathe, ambre et stéatite, appelée en anglais soapstone.
Cloisonnés, émaux cloisonnés et peints, vases, statuettes, statues et objets en cloisonnés.
Objets de lettrés et objets d’art usuels et de cérémonies, archéologie chinoise, ivoires anciens, laques, textiles, bijoux… antiquités et art chinois, antiquités et art japonais, antiquités et art indien.
Armures et armes d’Asie et du Moyen-Orient en particulier du Japon, de la Chine de l’Indonésie et des Indes.
Peintures chinoises anciennes et modernes, dessins, calligraphies chinoises, éventails chinois peints, thangkas tibétains, mandalas, miniatures indiennes, kakémonos, peintures et estampes japonaises, peintures indonésiennes anciennes et modernes.
Nous recherchons les tableaux anciens, modernes et contemporains asiatiques. Les peintres chinois, vietnamiens, coréens et indonésiens, ainsi que les peintres français et étrangers ayant peint dans les pays asiatiques.
Ecole de Hanoï, tableaux, sculptures, bronzes, laques et objets du Vietnam.
Meubles anciens asiatiques en bois exotique, zitan, huanghuali, bois de fer mais aussi en laque rouge de Pékin, laque de Coromandel, laque noire incrustée de nacre, jade, pierre et corail, laque peint, doré ou sculpté. Paravents, écrans, armoires, cabinets, étagères, sellettes, banquettes, fauteuils, chaises, tabourets, lits et tables.
Documents, livres, manuscrits, cartes postales, photographies et gravures sur l’asie ainsi que les médailles militaires.
QUELS SONT LES AVANTAGES DE VENDRE A UN EXPERT SPÉCIALISÉ?
Il identifie, authentifie, estime les œuvres à leur juste valeur et il est acheteur aux meilleurs prix, sans mauvaise surprise. Ses connaissances très spécifiques lui ont permis de rencontrer et de travailler de façon privilégiée, avec les grands collectionneurs, les marchands spécialisés en art d’Asie et les musées et il est souvent à l’origine de la création et gestionnaire de collections ; ainsi, parce qu’ils se passe d’intermédiaires, il peut vous garantir les meilleures propositions d’achat.
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Voici en images, quelques exemples de ce que je recherche et suis prêt à acquérir au meilleur prix :
Bronze doré chinois d'époque Ming représentant un bodhisattva probablement Samantabhar. Experts en art chinois, nous achetons, estimons et expertisons les antiquités chinoises, en particulier, les bronzes chinois, bronzes dorés et bronzes laqués des dynasties Ming et Qing. Estimations à Nice - Menton - Monaco - Monte-Carlo - Antibes - Cannes - Vence - Grasse - Toulon - Marseille -Aix-en-Provence - Avignon - Nîmes et la région Paca. Vase ou jarre représentant des poissons rouges nageant dans un étang de lotus. Porcelaine au décor à fond bleu vernissé avec couverte polychrome. Vase Ming, période Jiajing (1522-1566), Jiangxi. Cette pièce diffère du wucai (cinq couleurs), dans lequel celles ci sont uniformément distribuées, par le fait qu'ici une seule couleur prédomine, le bleu. Le rouge et le jaune ne sont employés que pour les poissons. Un rouleau de lotus entoure la jarre au-dessus de la scène de l'étang et il y a, au dessous, une succession de panneaux de lotus. a l'épaule, sous la bordure de feuille, le corps est décoré de poissons nageant parmi des plantes aquatiques. Au lieu du vert habituel, ici le rouge et le jaune qui flamboient d'un éclair d'or résultat des multiples essais des potiers Jiajing, ont été utilisés. Achat-vente, estimation gratuite, expertise de porcelaine d'époque Ming. Porcelaine blanche ou polychrome, avec ou sans marque impériale. Vous désirez vendre une porcelaine chinoise, un vase, un plat, une assiette, ou tout objet en porcelaine chinoise des époques Ming ou Qing, nous sommes experts en porcelaine chinoise et acheteurs. Estimations à Nice - Menton - Monaco - Monte-Carlo - Antibes - Cannes - Vence - Grasse - Toulon - Marseille -Aix-en-Provence - Avignon - Nîmes et la région Paca. Statuette tibétaine en bronze doré datant du 16ème siècle. Le Dieu tutélaire Samvara se trouve au centre de la composition, il enlace sa compagne Vajravarahi et déploie ses 4 faces et ses 12 bras. De ses mains droites il brandit, le « foudre-diamant », le trident, le couperet, la hanche, le tambour-sablier à boules fouettantes, et la peau d’éléphant. De ses mains gauches, il tient la clochette, les têtes coupées du dieu Brahma, la corde et la coupe crânienne remplie de sang, le sceptre tantrique et de l’autre extrémité la peau d’éléphant. Expert en art tibétain, je recherche les antiquités tibétaines ; les sculptures tibétaines, chinoises et indiennes sont ma grande spécialité. Estimations à Nice - Menton - Monaco - Monte-Carlo - Antibes - Cannes - Vence - Grasse - Toulon - Marseille -Aix-en-Provence - Avignon - Nîmes et le 06. Jade néphrite d'époque Qianlong (1736-1795) dynastie des Qing. Il y a huit mille ans les habitants de ce qui est devenu la Chine actuelle, poussés par des motivations puissantes et un esprit créatif certain, se sont mis à polir consciencieusement ces pierres fines très dures pour en faire des ornements qu'ils portaient à même leur corps. Mais cette action très complexe et certainement très lente, associée aux formes singulières qu'ils choisissaient n'étaient certainement pas des actes dénués d'importance, voire de signification. La Chine est ainsi le pays le plus important dans la production, la fabrication et l'utilisation du jade. Dans la symbolique chinoise, le jade était une pierre relative à l'empereur, symbole d'un pouvoir absolu. L'empereur se devait d'arborer un sceptre de jade (Ruyi) lors des grandes cérémonies. Les cinq rangs de princes recevaient chacun une tablette de jade d'un type particulier. Le premier rang recevait une tablette oblongue avec deux colonnes gravées. Le second rang recevait une tablette oblongue où figurait un homme debout, le corps droit. Le troisième rang recevait une tablette oblongue où était représenté un homme courbé. Le quatrième rang recevait une tablette annulaire sur laquelle figurait du millet. Le cinquième rang recevait une tablette annulaire gravée de feuilles de jonc. Chaque année, les princes se rendaient en audience devant l’empereur et rendaient leurs tablettes qui étaient alors comparées avec les formes-modèles conservées au palais. Si tout était conforme les tablettes leur étaient restituées. Le simple fait que l’empereur ne désire pas rendre une tablette signifiait la destitution du prince. Les envoyés de l’empereur et les ambassadeurs possédaient, quant à eux, des demi-tablettes coupées dans la longueur et qui se devaient de parfaitement correspondre à la partie complémentaire qui avait été confiée au correspondant. Posséder un jade, en Chine, est donc, en quelque sorte, pouvoir prétendre à une dignité impériale. Vous désirez vendre un jade et connaître son prix, je suis expert en antiquités chinoises et spécialisé dans les jades anciens. Estimations à Nice - Menton - Monaco - Monte-Carlo - Antibes - Cannes - Vence - Grasse - Toulon - Marseille -Aix-en-Provence - Avignon - Nîmes et la région Paca. Aiguière d'ablutions de style tibétain en porcelaine polychrome. Porcelaine Jiangxi (doucai) d'époque Qianlong. La décoration luxueuse de cette aiguière prouve le grand talent des artisans chinois de cette époque. (la céramique chinoise par He Li. Thames et Hudson) Sous la dynastie des Qing, d'origine mandchoue, et qui régna sur la Chine de 1644 à 1911, les techniques et les décors se firent de plus en plus élaborés, encouragés par les grands empereurs que furent Kangxi, Yongzheng et Qianlong. Ce dernier était sans doute le plus exigeant, n'hésitant pas à définir les motifs qu'il souhaitait, ou à réprimander toute baisse de qualité. La production augmenta considérablement, puisqu'elle atteignit le nombre de 10 000 pièces produites chaque année pour la Cour impériale. La variété des différents styles de céramiques devint considérable : doucai « couleurs liées ), susancai « trois couleurs unies », wucai « cinq couleurs », que nous connaissons comme étant la famille verte , ruancai (couleurs douces), comprenant le falangcai (couleurs émaillées), le fencai « couleurs poudreuses », le yangcai « couleurs occidentales », que nous connaissons sous le nom de famille rose , et aussi les glaçures monochromes : « sang de bœuf », jaune impérial, « rouge occidental » (yanghong) De plus, on continua à fabriquer certaines productions des époques antérieures, en particulier Song et Ming : guan, ge, « bleu et blanc ». La dynastie Qing vit aussi l'exportation en direction de l'Europe se développer considérablement. Ce fut d'abord l'empereur Kangxi qui lança la pratique des cadeaux d'objets de porcelaine offerts aux souverains étrangers. Puis l'exportation se développa, entraînant l'apparition de formes et de motifs destinés à répondre à la demande étrangère, comme la porcelaine de Canton, à partir du XVIIe siècle, faite de pièces aux couleurs variées peintes dans le port du Sud de la Chine sur des porcelaines fabriquées à Jingdezhen. (source wikipédia). Expert en porcelaine chinoise. Achat, vente, expertise et estimation de porcelaine chinoise de la dynastie Qing. Porcelaine blanche ou porcelaine polychrome, des empereurs Yongzheng, Kangxi et Qianlong avec ou sans marque impériale. Vase dit millefiori en émail cloisonné de la dynastie des Qing. Epoque Qianlong. Le cloisonné est une technique de fabrication de bijoux, vases et autres objets de décoration en émail. Les objets produits par cette technique sont également appelés cloisonné. Il s'agit de cerner le contour des motifs à l'aide d'une mince bandelette métallique soudée sur le champ du métal. Les alvéoles ainsi obtenues sont remplies d'émail. Le tout est ensuite cuit et poncé. Expert en cloisonnés chinois et asiatiques anciens. Nous recherchons les tableaux d'artistes chinois contemporains ayant peint en Chine ou en France, Zao Wou-Ki, Chu Teh Chun... Huang Shen (1687-1766) : Zhong Kui. Ecole de Yangzhou. Vous désirez vendre une peinture chinoise ; expert en peinture chinoise je propose l'expertise et l'achat de dessins, peintures dessins, aquarelles et calligraphies chinoises. Masque, Arunachal Pradesh, Himalaya septentrional. Bois, patine noire lustrée, métal; deux orifices pour boucles d'oreilles, un trou carré en haut, l'autre devait être dans la partie manquante ; les deux trous ont du servir pour la consolidation ; la partie basse est restaurée avec une bande métallique. On remarque les yeux globuleux dont la pupille, ouverte, est tournée vers l'avant. Le nombre de restaurations locales témoigne de l'attachement et de la considération que lui vouait la communauté à laquelle il appartenait. (Himalaya's Art et Shamans) très beau livre de mon ami Eric Chazot et de Liliane et Michel Durand-Dessert. Petite table d'appoint impériale d'époque Qianlong (1736-1795). Dynastie des Qing. Les meubles en bois dur étaient réservés aux demeures des familles riches, aux maisons des nobles et des hauts fonctionnaires. Les bois employés étaient le zitan ou bois de santal, le huanghuali le palissandre, le jichimu, le tiélimu ou bois de fer, le nanmu. Le zitan ou bois de santal est particulièrement prisé à cause de sa dureté, de sa résistance au temps et de sa rareté. L'époque Ming est considérée comme l'âge d'or du mobilier chinois. Les meubles Ming (lits, chaises, tables, écrans, paravents, cabinets, consoles, commodes, armoires, bibliothèques), fabriqués par des artisans anonymes, étaient destinés aux élites lettrées. Bien qu'il soient fabriqués à partir d'assemblages complexes de tenons et mortaises, ces meubles ont généralement une apparence simple, fonctionnelle, une structure apparente, une décoration élégante et discrète. Les lignes, carrées sont épurées et belles, les courbes, douces. Fabriqués à base d'essences précieuses telles que le huanghuali, une variété de bois rose, les meubles sont souvent revêtus d'une laque transparente magnifiant les veines du bois. Contrairement au mobilier Ming, le style Qing est perméable à l'influence occidentale dont il reprend souvent les types de moulures. Surtout, le décor, typiquement chinois, s'enrichit considérablement de peintures et de motifs sculptés ou gravés de fleurs, dragons, phœnix, ki-lin (un animal mythologique), nuages et feuilles stylisées pour atteindre des sommets à la fin du XIXe siècle. (source wikipédia). Le mobilier impérial chinois est rare et cher ; après expertise nous pouvons vous trouver un client pour une vente de gré à gré, rapidement, et au meilleur prix. Détail d'une armoire en laque peinte datant de la fin des Ming ou du début des Qing. Les meubles laqués étaient conçus pour les palais, les temples et les demeures du pouvoir. La laque peut être gravée ou utilisée pour remplir un dessin gravé, puis polie ou peinte. Le mobilier en laque peut se recouvrir d'incrustations de nacre, émail, jade, ivoire, corne, agate, ambre, pierre dure, marbre et céramique. Nous recherchons les meubles chinois anciens des époques Ming et Qing. Lit, banquette, paravent, table, fauteuil, chaise, étagère et guéridon chinois. Nous recherchons pour satisfaire la demande de nos clients les œuvres d'artistes chinois modernes, tels que Lin Fengmian, Xu Beihong, Pan Yuliang, Sanyu, Liu Haisu, Chang Shuhong, Hua Tianyou, Pang Xunqin et bien d'autres. Bronze hindou, sculpture représentant Shiva Nataraja, seigneur de la danse Inde du sud, Tamil Nadu. Epoque Vijayanagar, 15/16e siècle Nataraja roi de la danse est une épithète de Shiva qui exécute une danse cosmique appelée nadānta ou ānanda-tāṇḍava, « danse de la félicité ». Une iconographie particulièrement populaire dans le Sud de l'Inde à la fin de l'époque Chola (Xe-XIIe siècle) représente Shiva sous cet aspect, à la fois créateur et destructeur. Nataraja est la divinité principale du sanctuaire de Chidambaram, et l'inspiratrice des danseurs du Bharata Natyam. Il a quatre bras. Il tient dans sa main droite supérieure un tambour symbolisant le son primordial de la création de l'univers, dans sa main gauche une flamme symbolisant la destruction du monde. Sa deuxième main droite est en abhaya-mudrā, geste de protection. Sa main gauche inférieure montre sa jambe levée symbolisant l'espoir de libération. Il écrase de sa deuxième jambe le nain Apasmārapuruṣa, aussi appelé Mulayaka qui représente l’ignorance. Il est encerclé de flammes qui symbolisent la succession des cycles cosmiques. À l'aide de son chignon orné d'un diadème il canalise la descente du Gange céleste sur Terre, dont les flots sont représentés par des tresses ondulées. Sur l'une d'entre elles est Gangā, la déesse du Gange. Vous souhaitez vendre une sculpture indienne, n'hésitez pas à me contacter, la statuaire indienne est l'une de mes spécialités. Les Chinois ont très tôt utilisé les pierres dans leurs jardins (pensés comme représentations de l’univers) comme éléments de symbolisation des montagnes. Porteurs des forces telluriques, les bouts de roche, soigneusement choisis et disposés avaient alors un rôle plus important encore que les éléments végétaux. Puis, dès le VIIIème siècle, les fonctionnaires chinois, les "lettrés", les ont introduits dans leurs cabinets privés, les posant sur leurs tables comme source d’inspiration et de méditation. Le lieu où les pierres étaient disposées n’était pas un "bureau", mais au contraire un espace dédié au retrait – retrait par rapport à leur travail au service de l’Etat – où ils prenaient soin de s’extraire de leurs activités extérieures pour s’adonner à l’écriture, à la poésie, au dessin, à la .musique, à la contemplation et à la méditation. Au XIIème siècle, ces pierres ont été montées sur des socles en bois sculpté, voire même, pour les feuilles de marbre, enchâssées dans de petits écrans de bois. Aujourd’hui encore, ces vénérables rochers, que leurs ancêtres avaient sélectionnés en un nombre limité de sites, demeurent honorés par les artistes chinois, qui les dessinent et les collectionnent. Achat-estimation-expertise de pierres ou racines de méditation et d'objets de lettrés. Achat de bijoux asiatiques anciens. Bijoux chinois, Tibétains, Indiens, Indonésiens ainsi que les bijoux modernes réalisés avec du jade par des bijoutiers européens. Le netsuke est un objet vestimentaire traditionnel japonais servant à maintenir les sagemono (littéralement « objets suspendus »). Le kimono n'ayant pas de poche, les différents objets usuels — matériel pour écrire (yatate), la bourse, l'étui à pipe (kiseru-zutsu), la boîte à médicaments ou à sceaux (inrō) ou la boucle de l'obi (obidome) — sont transportés dans des sortes de petites boîtes dénommées sagemono. Ces objets sont suspendus à l'obi de leur propriétaire par une cordelette. Le netsuke, placé au-dessus du bord supérieur de l'obi sert à maintenir le sagemono tel un taquet. À partir de l'ère Meiji le Japon s'ouvre au monde occidental. Le kimono est peu à peu abandonné au profit des vêtements occidentaux plus faciles à porter et munis de poches. Ce changement d'habitudes entraîne, à terme, la disparition de ce petit objet dans son utilisation primitive. Toutefois, de nombreux netsuke-shi (sculpteurs de netsuke) continuent de sculpter ces pièces traditionnelles pour l'exportation en direction de l'Occident où il est très prisé et aussi pour une demande intérieure persistante. En effet, les Japonais mettent un point d'honneur à arborer traditionnellement un inrō lors des grandes occasions. Vase en bronze d'époque Shang ou début des Chou de l'ouest (11ème siècle avant JC). La vaisselle métallique constitue l'une des productions les plus prestigieuses de l'art chinois. Ces récipients, exécutés du XVIe siècle av. J.-C. jusqu'au IIIe siècle ap. J.-C. possèdent une typologie variée et une ornementation diversifiée. A l'époque Shang, ils participaient à la vaisselle d'apparat, utilisée lors de banquets cérémoniels au cours desquels on rendait hommage aux ancêtres du clan. Ils se partageaient entre récipients pour les nourritures solides et vases pour les liquides, plus particulièrement des boissons sans doute aromatisées. Expertise de bronzes chinois archaïques, mais aussi des empires Han, Sui, Tang et Song, ainsi que des dynasties Yuan (mongole), Ming (Han) et Qing (Mandchoue). Vase chinois en verre overlay à décor de dragon, marque et période Qianlong. Estimation de verreries chinoises, verre de pékin, verre overlay... Les inrō, littéralement « panier de cachets », sont de petites boîtes originaires du Japon à vocation utilitaire. Les inrō font partie des objets appelés sagemono (objets pendants) et sont portés uniquement par les hommes. Les kimonos n'ayant pas de poche, on les accroche à la ceinture du kimono (appelée obi) par une cordelette, pour y ranger différentes choses. Cette cordelette est glissée entre la ceinture et le vêtement. Afin qu'elle ne tombe pas, un taquet, généralement un netsuke, bloque celle-ci au bord supérieur de l'obi. Ils sont formés de compartiments s'emboitant les uns sur les autres. Le nombre de compartiments peut varier de 1 à 7, plus le couvercle. Les différents composants sont réunis entre eux par une cordelette. Cette dernière coulisse dans des canaux (himotoshi) situés de part et d'autre de chaque compartiment. La cordelette est maintenue tendue par un « clip » (ojime) pour fixer les compartiments entre eux. Lorsque le compartiment est unique, on les appelle des tonkotsu. Les inrō sont généralement réalisés en bois (Paulownia), en bambou ou tressés à partir de lanières de bambou. Ils sont en cuir pour les blagues à tabac et sont alors accompagnés d'un étui renfermant la pipe. Ils sont agrémentés d'une multitude de décors sculptés, en laque ou recouverts d'écaille de tortue. Les plus beaux sont gainés dans un étui généralement lui-même recouvert de laque unie. Une découpe sur une de ses faces (parfois sur les deux) permet d'apercevoir une partie du décor de l' inrō. Cet étui sert de protection à l' inrō qu'il renferme. En effet, plusieurs inrō sont parfois appendus à la ceinture de leur propriétaire et peuvent s'entrechoquer. Or, un éclat sur la laque est difficilement réparable et se voit toujours. Panneau en laque des années 1950 réalisé par Thanhley. La technique de la laque, avant de devenir une technique décorative, est avant tout une technique de protection des objets. Lisse et très résistante, c'est le matériau de revêtement idéal pour les objets du quotidien et le mobilier. Elle est utilisée en chine, dès la dynastie des Zhou (1066 - 221 av. JC). C'est surtout sous les Ming (1368 - 1644) que s'organisent les ateliers officiels de laque. Au vietnam, à l'origine, le laque est un art populaire et artisanal. D'abord utilisée pour orner et dorer les tableaux et les statues des pagodes, la laque a trouvé, dans l'artisanat usuel une utilisation courante (paravents, coffres, plateaux, vases, échiquiers...). L'enseignement de la technique de la laque a commencé vers 1930 à l'Ecole des Beaux-Arts de l'Indochine (fondée par le français Victor Tardieu assisté de Louis Inguimberti à Hanoï. Désormais, les étudiants et les artistes ont su exploiter et développer la laque pour réaliser leurs tableaux. Pendant de nombreuses années, ce procédé de travail de la laque a été gardé comme un secret national. Ce n'est que vers 1970, que des élèves étrangers ont pu apprendre cette technique à l'Ecole des Beaux-Arts de Hanoï. Nous recherchons les panneaux et paravents en laque du Vietnam en particulier ceux réalisés par NGUYEN GIA TRI (1908-1993) et THANH LE, mais aussi les peintures et aquarelles de: LE PHO, MAI-THU, NGUYEN PHAN CHANH, VU CAO DAM, les sculptures et objets d'art réalisés par les artistes de l'école de Hanoï et les oeuvres d'artistes d'Asie du Sud-Est: Corée, Thaïlande, Cambodge, Laos, Birmanie et Indonésie . Nous recherchons les œuvres d'artistes peintres d'Asie du sud-est et en particulier vietnamiens tel que, Le Pho, Mai-Thu, Nguyen Phan Chanh, Vu Cao Dam et en ce qui concerne le travail de la laque poncée : Nguyen Gia Tri et Thanh Le. Nous recherchons aussi les artistes européens et en particulier français ayant peint en Asie du sud-est, Vietnam, Laos, Cambodge et Indonésie tel que Joseph Inguimberty, Evariste Jonchère, André Maire, Alix Aymé, Louis Bâte... Casque de danseur représentant Bhairava en bois avec traces de polychromie. Kerala fin 16ème début 17ème siècle. Les Ming avaient déjà lancé la production de porcelaines comportant de nombreuses couleurs, et en particulier les wucai « cinq couleurs » ; à partir de cette avancée, on vit apparaître sous le règne de Kangxi, au début de la dynastie des Qing, un nouveau type de porcelaine polychrome, la « famille verte » (pinyin : yìngcǎi, « couleurs vives »). La « famille verte », selon le nom que lui a donné Albert Jacquemart au XIXe siècle, se distingue en particulier des wucai de l'époque Ming par la disparition du bleu turquoise, et l'apparition d'un émail bleu proche du lavande. On trouve aussi le rouge tiré du fer, le violet tiré du manganèse, le jaune tiré du titane, et une très riche palette de verts, comprenant jusqu'à huit nuances différentes. Achat vente et estimation de porcelaine chinoise ancienne. Armure japonaise en acier, fer rouge, mailles et fer laqué et feuille de cuir. La prise de pouvoir politique et administratif par la chevalerie engagea un important perfectionnement des armes et armures, objets de combat mais aussi d'apparat, uniforme des hommes au pouvoir ou de ceux qui s'efforçaient d'y parvenir. On imagina des armures splendides, faites de lamelles de fer recouvertes de laque et liées, selon la tradition, de cordonnets de couleurs. Les éléments protégeant la poitrine, les épaules, la nuque étaient faits de cuir ou bien de métal : ils offraient alors aux ciseleurs autant de surfaces à orner tandis que les armes proprement dites - épées, poignards aux lames réputées déjà hors du Japon - s'ornaient de poignées, gardes et fourreaux richement ciselés, incrustés et laqués. Ces panoplies se divisent en deux catégories : armements simples, faits de cuir et de fer ou armements prestigieux rehaussés des plus nobles matières, l'or, l'argent, le laque. Les premières cuirasses en plaques d'acier épaisses à l'épreuve des balles furent fabriquées au XVIème siècle quand les armes à feu furent introduites au Japon, la plupart étant réalisées d'après des modèles européens. Pendant la période Edo, l'armure n'était portée que lors de cérémonies et le fer et l'acier lourds furent remplacés par des matériaux plus légers. Mais certains seigneurs de province comme le clan Date de Sendai continuèrent à porter des armures à l'apparence guerrière, peut être encore blessés par le souvenir de la cuisante défaite de leurs ancêtres par les Tokugawas lors de la bataille décisive de Seki ga Hara en 1600 après JC. Achat, expertise et estimation d'armes blanches japonaises telles que : Katanas, wakisashi, tanto, yari ; mais aussi les tsubas (garde), les armes japonaises en général et les éléments d'armure. Vase en émail cloisonné d'époque Xuande, dynastie Ming. Estimation de vos cloisonnés chinois des époques Ming ou Qing. Les bronziers japonais sont de merveilleux créateurs qui savent si bien réunir la hardiesse dans la conception et la conscience dans l'exécution. Les sculpteurs de l'époque Edo inspirèrent de nombreux sculpteurs français du début du XXème siècle et plus particulièrement l'Ecole de Nancy. Les artisans de l'époque d'Edo possédaient une très grande maîtrise technique du bronze. Ils eurent tendance à rechercher plus souvent la prouesse de fabrication que la beauté. en revanche cette habileté, servie à merveille par leurs dons d'observation de la nature les amenait à créer de petits chefs d'œuvres de l'art animalier. Nous achetons les bronzes et les objets d'art japonais. Golconde 17ème siècle. Golconde est l'ancienne capitale des Qutb Shâhi dont le rayonnement s’étendit de l’extrême Orient à l’Occident grâce à ses mines de diamants et au raffinement des palais de la forteresse et des mausolées des sultans et nawabs. Le musée de Salar Jung renferme une magnifique collection de miniatures indiennes. Achat - Expertise de miniatures indiennes. Bronze Jaïn, Inde du nord vers le 11ème siècle. Expert en art indien. Sculptures, bronzes, objets d'art, peintures, miniatures indiennes. Le port de Amoy (Xiamen) en 1850 peint par un artiste chinois. Nous estimons les peintures chinoises du XIXème siècle, paysages, marines, portraits et scènes de genre peints par des artistes chinois ou européens. Expertise de peinture chinoise et asiatique. Dague Inde Moghole avec sa poignée en jade vert pâle datant du 17ème siècle. Les poignards constituent une part non négligeable de la production d'objets moghols. Le goût pour le jade, « pierre de la victoire » fait référence aux origines timurides de la dynastie, ceux-ci considérant le jade comme une pierre quasi-magique. La collection d'objets timurides et chinois dans ce matériau commença dès Bâbur, dont on sait qu'il se proclamait descendant à la fois de Tamerlan et de Gengis Khan. La production d'objets de jade et de pierre dure ne commença pourtant que plus tard, sous le règne de Jahângîr, pour s'épanouir sous ceux de Shah Jahân et Awrangzeb. Le jade, c'est-à-dire une sorte de néphrite dont la couleur varie du blanc au noir en passant par toutes sortes de vert n'est pas la seule pierre utilisée : les souverains moghols et leur cour sont aussi friands d'agate et de cristal de roche. Ces matières ne sont cependant pas travaillées par les mêmes artisans, le jade étant une pierre fibreuse, difficile à sculpter, et dont les techniques s'éloignent de beaucoup de celles de pierre comme le cristal. Les premières pièces produites sont très marquées par l'Iran safavide. (wikipédia) Nous sommes acheteurs d'objets d'art mogholes en particulier d'objets en jade, poignées d'armes d'apparat, dagues, coupes, bols, boites et plumiers. Nous recherchons aussi les peintures mogholes. Coupe libatoire en corne de rhinocéros dans laquelle on pouvait boire le thé. Il s'agissait d'une sorte de rite. Ces cornes ont été sculptées du XIVème siècle jusqu'à la fin du XIXème siècle. Les coupes étaient tellement populaires qu'elles étaient imitées en porcelaine blanche. Très vite, cet objet est devenu essentiellement décoratif, signe de prestige et de reconnaissance sociale. Il est également un objet de fantasme dans la pharmacopée chinoise qui lui prête d'importantes vertues médicinales. Okimono en ivoire de l'Ecole de Tokyo fondée en 1887 dans la volonté de combiner le savoir faire japonais et les influences occidentales. Epoque Meiji 1868/1912 Expertise d'ivoires et objets d'art japonais. Vase en porcelaine japonaise Beu et Blanc de Makuzu Kozan. Miyagawa (Makuzu) Kozan (1842-1916), nommé artiste de la maison impériale du Japon, est l'un des plus grands céramistes de l'ère Meiji. Il est issu d'une longue lignée de potiers basée à Kyoto et a repris l'entreprise familiale en 1860, à l'âge de dix-neuf ans. En 1870, il ouvre un atelier à Yokohama et semble être arrivé à l'apogée de sa plénitude artistique dans les années 1880. Les pièces signées « Makuzu Koza » que l'on trouve encore semblent avoir été faites jusque dans les premières décennies du XXe siècle. (Wikipédia) Tête de Bouddha en schiste du 7ème-8ème siècle. Thailande, Dvaravati. Expertise et estimation de sculptures d'asie du sud-est: Thaïlande, Vietnam, Cambodge, Laos, Birmanie et Indonésie. Cachet impérial en argent d'époque yongzheng. La sculpture en haut relief représente deux dragons volant sur d'épais nuages. Incrustation de turquoise et de corail. Le sceau est une forme d'identification graphique utilisée pratiquement depuis l'invention de l'écriture, et utilisée par les empereurs de Chine d'abord, puis de Corée et du Japon, pour signer leurs actes officiels. Même à l'époque actuelle, les sceaux sont utilisés couramment en Extrême-Orient en lieu et place d'une signature manuelle (sans l'exclure toutefois), pour authentifier des documents officiels ou des transactions financières, se marier, etc. Dans certains cas, il arrive que seule l'application de son sceau personnel soit valable, et non sa signature manuelle. Les sceaux d'Extrême-Orient portent généralement le nom de la personne ou de l'organisation qu'ils représentent, mais ils peuvent aussi porter un décor symbolique, un poème, une devise personnelle, ou encore un animal stylisé du bestiaire oriental...Parfois, ils reprennent des marques antiques bien connues des lettrés. Parfois les deux types de sceaux - ou un grand sceau portant à la fois nom et devise - sont utilisés pour authentifier des documents officiels. Les sceaux sont si importants en Extrême-Orient que les étrangers qui y font fréquemment des affaires sont amenés à faire graver leur propre sceau. Les pays où l'utilisation du sceau est traditionnelle sont la Chine, le Japon, et la Corée, mais aussi le Viêt Nam qui a une tradition ancienne de cet usage. À l'époque où la dynastie Yuan, d'origine mongole, régnait sur la Chine, l'usage du sceau s'était répandu jusque dans certaines régions de Perse. La gravure des sceaux est considérée comme une forme de calligraphie, et comme en calligraphie, il y a plusieurs styles de gravure de sceaux. Les sceaux reproduisent d'ailleurs parfois les différents styles calligraphiques, avec parfois une stylisation telle des caractères que la lecture en devient impossible pour tout autre qu'un lecteur très averti. Les sceaux incisés en creux sont dénommés Yin (énergie féminine), les sceaux gravés en relief sont dénommés Yang (énergie masculine). Les premiers sceaux connus en Orient furent des sceaux yin. (Wikipédia) Nous recherchons les cachets et sceaux en jade, pierre dure, pierre de lard (soapstone), en argent et matériaux divers. Bouddha Sakyamuni, stuc à glaçure blanche et restes de polychromie Gandhara, circa 4/5ème siècle.
Achat-vente-estimation de sculptures du Gandhara en stuc mais aussi en bronze, marbre, granite, pierre, schiste, terre cuite... Expert en antiquités du Gandhara. Devi en grès rose, Inde médiéval environ 12ème siècle. Provenant de Katjuraho ou madya pradesh. Miroir chinois de la dynastie Song (960-1279). Au centre et immédiatement autour du bouton central, deux dragons lovés se font face, évoquant l'opposition des entités yin et yang. Quatre caractères en croix, inscrits dans un cartouche expriment le souhait d'une double plénitude de bonheur et de longévité. Le piètement d'époque plus tardive est réalisé en bois d'ébène. Ref: L. Vandermeersch Collection des auteurs.